Pour mieux connaître ses clients, il n’y a pas de secret : il faut prendre le temps.
Quel est votre rôle principal en tant que private banker ?
Un private banker accompagne financièrement ses clients tout au long de leur vie. Notre travail consiste à agir en tant que conseiller de confiance, pour identifier leurs actifs et les conseiller sur la manière d’augmenter leurs rendements. C’est ainsi que nous créons de l’impact et que nous leur apportons la tranquillité d’esprit.
Ce métier repose avant tout sur l'empathie, le relationnel et la proactivité. Notre travail consiste à rendre les choses simples, efficaces et accessibles. Et accessible signifie être joignable et disponible pour vos clients, connaître leurs parcours et leurs intérêts et leurs activités.
Est-ce un métier solitaire ?
L'un des points forts d'ING est qu’on travaille en étroite collaboration avec différents experts. Nous nous concertons beaucoup et l’ambiance est très ouverte et dynamique. C’est un grand avantage pour nos clients, mais aussi pour nous en tant que private banker. Ça nous permet de développer notre expertise à de nombreux niveaux.
D’un côté, c’est un travail exigeant qui demande un engagement important. Mais de l’autre, il y a une grande flexibilité et un équilibre entre la vie professionnelle et la vie privé très intéressant et plutôt agréable. Ce qui me plaît dans ce métier, c’est la diversité des expériences que j’y vis chaque jour. Et j’ai toujours apprécié la convivialité et la culture d’ouverture qui règne chez ING.
Quelle est l’importance des chiffres dans votre métier ?
Nos objectifs sont évidemment ambitieux et constituent une part importante du travail. Il faut avoir de bonnes connaissances techniques dans le domaine bancaire. Vous devez être en mesure de réaliser et d'interpréter des analyses financières, par exemple.
Chez ING, nous nous distinguons par la qualité de nos services et nos nombreux domaines d’expertise. Nous travaillons également en contact direct avec les Portfolio Managers qui gèrent les investissements pour le compte de nos clients. Et nous pouvons compter sur notre investment office et nos économistes pour obtenir une vue d’ensemble et offrir le meilleur service possible.
Y a-t-il aussi une culture de l’apprentissage ?
Il y a beaucoup d’échanges entre collègues, nous participons à des conférences et nous faisons énormément de networking dans notre région. Et je sais d’expérience que chaque année, ING est l’entreprise qui envoie le plus de private bankers aux formations de la PBAB (Private Bankers Association Belgium).
D’un autre côté, il s’agit aussi de prendre sa carrière en main. Notre travail offre beaucoup de liberté. Il faut avoir l’esprit curieux et être autonome pour pouvoir traduire ses connaissances financières en conseils concrets et réussir sur le plan commercial.
Qu’est-ce qui vous rend fier de travailler dans le Private Banking chez ING ?
J’aime vraiment faire partie d’une entreprise en plein essor et qui cherche à se développer. Le Private Banking est une priorité pour ING. Et on joue un rôle important dans la vie de nos clients. Parfois, on se retrouve dans des situations qui impliquent des intérêts familiaux. Quand on peut les aider à les résoudre, c’est particulièrement gratifiant.